Nombre de jours de congés annuels

moins d’un an de présence

de 1 à 4 ans de présence*

plus de 4 ans de présence*

plus de 25 ans de présence*

Droits résultant de l’Accord du 1er mars 2004 Article 12

2,2 jours ouvrables par mois de présence

29,5 jours

30,5 jours

31,5 jours

Congés de fractionnement de la Convention Collective**

sous réserve de remplir les conditions

2 jours

2 jours

2 jours

TOTAL

Variable

31,5 jours*

32,5 jours*

33,5 jours*

* Les jours de congés sont exprimés en jours de travail.
** Le deux jours sont attribués lorsque le nombre de jours de congés, exprimé en jours de travail, pris entre le 1er novembre et le 30 avril de chaque année est au moins égal à 5.
S’il est compris entre 2 et 4 jours, une journée de fractionnement est attribuée.

Congés pour événements familiaux

• Mariage / Pacs

–   en cas de mariage ou de pacs du salarié : 5 jours de travail
–   en cas de mariage ou de pacs d’un enfant : 3 jours de travail
–   en cas de mariage ou de pacs d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère ou d’une belle-sœur : 1 jour de travail

• Naissance

–   en cas de naissance d’un enfant du salarié : 4 jours de travail
–   en cas de naissances multiples, ce congé est porté à 5 jours de travail

• Décès

–   en cas de décès du conjoint : 5 jours de travail
–   en cas de décès d’un enfant du salarié ou de son conjoint : 5 jours de travail
–   en cas de décès d’un gendre, d’un beau-fils ou d’une belle-fille : 3 jours de travail
–   en cas de décès du père, de la mère, du beau-père ou de la belle-mère : 3 jours de travail
–   en cas de décès du grand-père, de la grand-mère du salarié ou ceux de son conjoint : 2 jours de travail
–   en cas de décès d’un petit-fils ou d’une petite-fille du salarié ou de son conjoint :
2 jours de travail
–   en cas de décès d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère ou d’une belle-sœur :
2 jours  de travail

Allocations

Une allocation d’éducation est versée avec chacune des 13 mensualités de paie, aux salarié(e)s ayant au moins un enfant à charge.
Sont considérés comme à charge :

  • les enfants à charge au sens de la législation sur les prestations familiales agricoles, ainsi que :
    • les enfants du conjoint du salarié (mariage, concubinage, pacs) en garde exclusive ou alternée,
    • les enfants des salariés séparés ou divorcés, dont ceux-ci ont la garde (garde exclusive, garde alternée), ou les enfants dont ils n’ont pas la garde exclusive ou alternée mais qui donnent lieu à pension alimentaire,
    • les enfants dont les salariés en tant que grands-parents ont la charge effective »
  • les enfants à charge au sens de la législation sur les prestations familiales agricoles ;
  • les enfants de plus de vingt ans et de moins de vingt-cinq ans révolus accomplissant des études et demeurant à la charge de leurs parents, à l’exclusion de ceux qui perçoivent à des titres divers des sommes dont le montant est supérieur à 75 % du SMIC ;
  • les enfants de plus de vingt ans et de moins de vingt cinq ans révolus préparant un titre ou un diplôme en alternance (apprentissage ou professionnalisation) et demeurant à la charge de leurs parents, à l’exclusion de ceux qui perçoivent à des titres divers des sommes dont le montant est supérieur à 75 % du SMIC.

Le salarié peut renoncer expressément à la perception du sursalaire familial ou de l’allocation d’éducation lorsque son conjoint peut bénéficier d’une allocation parentale d’un montant supérieur dans une autre entreprise n’autorisant pas le cumul d’allocations.

Par dérogation aux dispositions jusqu’alors en vigueur et dès lors qu’il verse une pension alimentaire au titre du ou des enfants concernés dont il n’a pas la garde, le salarié ne bénéficiant plus du sursalaire familial en raison d’une séparation ou d’un divorce intervenu après la transposition dans le système de classification et de rémunération, perçoit, à compter de l’entrée en vigueur de l’avenant (01/01/2012), l’allocation d’éducation.

Cette allocation est égale à 43 € bruts par enfant.

Lorsque les deux parents travaillent dans un organisme relevant du présent accord, seul l’un d’entre eux bénéficie de l’allocation d’éducation.

Pourquoi la Cfdt ?

 Une  volonté réelle de négocier

  • Opposée à la politique du « tout ou rien », la CFDT analyse et négocie chaque dossier  avec les patrons et les gouvernements, de droite comme de gauche, en toute indépendance ;
  • Progresse par étapes sans jamais renoncer à ses objectifs ;
  • À la CFDT : on s’informe, on s’engage, on agit, on négocie et on obtient des résultats !

La CFDT dit ce qu’elle fait et fait ce qu’elle dit.

 Un syndicalisme d’adhérent(e)s

  • Démocratique : Au-delà des résultats électoraux, la CFDT informe et consulte ses  adhérent(e)s sur ses positions et sur les décisions à prendre :

1 adhérent(e) = 1 voix 

  • Diversifié : À Groupama Loire Bretagne, le nombre d’adhérent(e)s représente à tous les niveaux (réseau commercial, sites, siège, H/F, cadres ou non) une force sociale incontournable face à la direction;
  •  Indépendant : Les cotisations des adhérent(e)s permettent de garantir l’indépendance de la CFDT en matière de formation syndicale, d’assistance juridique et de fonctionnement.

Adhérent(e)s à GLB

Être syndiqué(e) FGA CFDT à Groupama Loire Bretagne

400_300 CFDT Candidate

c’est :

  • Rejoindre un syndicat majoritaire de 470 adhérent(e)s qui font confiance à leurs élu(e)s pour défendre leurs droits.
  • Être informé(e) régulièrement par le biais de publications mensuelles nationales.
  • Recevoir les informations syndicales de l’entreprise par le biais d’un « Flash adhérent », de publications ponctuelles.
  • Pouvoir participer aux réunions d’adhérent(e)s tous les trimestres pour être informé(e), débattre, échanger et être consulté(e) sur les décisions à prendre. (Ces réunions sont considérées comme du temps de travail).
  • Être assuré(e) d’être défendu(e) tant collectivement qu’individuellement.

Flash DP Sites siège

Année 2019 :

15/01:Débrayage, repas service

Année 2018 :

20/11: Souriez vous êtes enregistrés
18/09: Sinistres auto sous l’eau – Droit d’expression
19/06: Et vous l’attendiez tant…

17/05: Mobilité géographique et candidature spontanée…
27/03: Missions temporaires: no limite ?
13/02: spécial temps de travail
.
23/01: bravo ! vous n’êtes pas augmenté.

Année 2017 :

14/12: permanence service, continuité de service
16/11: travail CRC, art 38 ANG

17/10: Booster – faut pas en abuser
14/09: Article 38 de l’A.N.G à respecter

13/06: La côte des salariés

18/05: Intéressement, télétravailleurs …

23/03:  Pause déjeuner suprimée pour rencontrer la rh

28/02: Télétravail: pas de quotas par service
26/01: un syndicat améliore la productivité.

Année 2016 :

16/12:  Les salariés ne sont pas des pions !
16/11: Prévoyance – attention à la notion de conjoint
18/10: la paie à sang pour cent
06/09 : Rémunération additionnelle… On a finalement gagné
21/06 : Augmentation 2016…ou l’art de privilégier l’individuel sur le collectif
28/04 : Nouveaux délégués du personnels…Mais toujours les mêmes missions
17/03 : Je l’aurai un jour, je l’aurai !
24/02 : Retour de maternité
14/01 : Révision de classification, un accouchement difficile….

Année 2015 :

10/12 : Règles de vie, elles fleurissent un peu partout……
12/11 : CDD, des salariés à part entière…….
16/09 : Fonctions techno 49. Comprend qui veut……….ou qui peut !

16/06 : En attendant septembre. Le mois magique
20/05 : Suspense ….
17/03 : Voilà l’été !
03/02 : Pause méridienne
15/01 : Ne m’enlevez pas ma liberté …… de candidater

Année 2014 :

25/11 : Partenariats Afpa-Groupama. Et la tutorat dans tout ça
14/10 : les congés, c’est la santé
09/09 : Indemnisation des congés payés. La règle du dixième pour les nuls…et les pas nuls
17/06 : La situation est grave
13/05 : Pesée des postes
08/04 : CDD (contrats à durée déterminée)
06/02 : Les DP quittent la séance
14/01 : Du beurre dans les épinards

Primes

Une prime de mariage ou de pacte de solidarité (PACS)

4% du salaire minimal de fonction (SMF) de la classe 3 soit 906,84 € en 2013.
En cas de succession d’un PACS et d’un mariage avec la personne, la prime ne sera versée qu’une seule fois.

Une prime de naissance ou d’adoption 

Tout salarié titularisé reçoit, à l’occasion de la naissance ou de l’adoption d’un enfant, une prime ponctuelle égale à 8% du salaire minimal de fonction (SMF) de l classe 3 soit 1 813,68 € en 2013.